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Cérémonie de remise des diplômes de la deuxième promotion de l'AIMAC


Par Aeronautique.ma, le 2 Novembre 2008



Ce jeudi 30 octobre s’est déroulée, en présence de Mr Benallou directeur général de l’office national des aéroports (ONDA), la cérémonie de remise des diplômes aux ingénieurs de la deuxième promotion de l’académie Internationale Mohammed IV de l’aviation civile (AIMAC). Des diplômes qui viennent couronner trois ans de formation basée sur un programme modulaire et orienté vers des objectifs opérationnels.

Photo promo IAC2 en compagnie de Mr Benallou (Cliquez pour agrandir)
Photo promo IAC2 en compagnie de Mr Benallou (Cliquez pour agrandir)

Le cycle ingénieur au sein de l’académie a été ouvert pour la première fois en septembre 2004 sur titre aux élèves admis au concours national commun d’admission aux grandes écoles d’ingénieurs.
La première année est composée d’enseignement d’harmonisation scientifique et technique et de cours d’intégration dans le secteur aéronautique. Les deuxième et troisième années aux enseignement spécialisés relatifs à l’une des deux filières: Electronique aéronautique ou Informatique et exploitation aéronautique.
Les élèves ingénieurs de l’académie bénéficient de trois stages en entreprise au cours de leur formation.  Une préparation pour les préparer a leur vie professionnelle dans les postes techniques ou d’encadrement dans les organismes du secteur aéronautique et les organismes des secteurs connexes.
 
Les cadres de l'ONDA présents à la céremonie de remise des diplômes (Cliquez pour agrandir)
Les cadres de l'ONDA présents à la céremonie de remise des diplômes (Cliquez pour agrandir)

La formation à l’académie bénéficie aussi de la stratégie des alliances mise en place par l’ONDA, conférant ainsi au diplôme une reconnaissance internationale grâce a un partenariat englobant les plus grands organismes internationaux et les plus renommées des écoles de l’aviation dont la prestigieuse Ecole Nationale de l’aviation civile en France.

Liens utiles:
- Site officiel de l'académie
- Site de l'association des élèves ingénieurs de l'AIMAC
- Forum de discussion sur Aeronautique.ma



Commentaires...

1.Posté par RIHANI Anas le 04/11/2008 14:54 | Alerter
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Félicitation pour la 2 ème promotion des Ingénieurs d'Etat de l'Aviation Civile

2.Posté par simo le 22/10/2010 19:16 | Alerter
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Les lauréats de l'Académie Internationale Mohammed VI de l'Aviation Civile ne savent pas à quel saint se vouer. Aucun diplôme n'a été délivré par cet établissement d'enseignement supérieur inauguré en 2000. Pour cause, le décret portant création de l'Académie n'est pas encore publié au bulletin officiel.

Aucun argument valable ne vient justifier ce retard qui met en péril la carrière de plus de 200 étudiants appartenant aux quatre premières promotions. Après 3 ans d'études laborieuses, ceux-ci se trouvent quasiment réduits au chômage, n'ayant que des attestations de réussite pour unique certificat d'études à l'AIMAC. Aujourd'hui, il semble que ce statu quo n'est plus tenable. Après une réunion sans résultat tenue avec le Président de l'Académie qui est en même temps Directeur Général de l'Office National des Aéroports (ONDA), les lauréats lésés ont choisi de hausser le ton.

Ils ont adressé, en mai dernier, une demande de régularisation de leur situation aux organismes de tutelle, à savoir le ministère de l'Education Nationale, de l'Enseignement Supérieur, de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique, le ministère de l'Equipement et du Transport, le ministère de la Modernisation des Secteurs Publics et l'Office National des Aéroports.
«Les trois premières promotions de l'Académie qui ont achevé leurs études n'ont pas encore reçu leurs diplômes.

Ainsi, face aux opportunités d'embauche étatiques, nous sommes incapables de présenter des documents officiels prouvant que les lauréats de l'AIMAC sont certifiés ingénieurs d'Etat en échelle onze », déplorent les lauréats dans leur lettre. Malheureusement, leur demande est restée sans écho. Ayant frappé à toutes les portes sans issue, certains d'entre eux ont fini par accepter cet état de fait et se sont débrouillés tant bien que mal pour trouver un emploi dans le secteur privé.


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