Les passagers d'un vol entre la ville indienne d'Amritsar et Birmingham (centre de l'Angleterre) ont été contraints de se cotiser à hauteur de 20.000 livres (environ 24.000 euros) pour payer le carburant nécessaire à leur retour.
Les quelque 180 passagers ont passé plus de six heures sur le tarmac de l'aéroport de Vienne, où l'avion affrété par Comtel Air, une compagnie aérienne enregistrée en Autriche, s'était arrêté pour remplir ses réservoirs. Ils ont indiqué au journal local Birmingham Mail avoir été "rançonnés" et menacés d'être débarqués s'ils ne payaient pas la somme en question.
Les pilotes leur ont expliqué qu'un déficit de 24.000 euros empêchait la poursuite du vol, et leur ont donné des reçus. "On s'est cotisé, on a sorti notre argent, 130 livres (150 euros) chacun. Les enfants ne payaient pas. Si nous n'avions pas l'argent, ils nous faisient sortir un à un pour tirer l'argent au distributeur", a témoigné sur la chaîne de télévision Channel 4 une des passagères, Reena Rindi, qui voyageait avec sa fille de deux ans. "Nous voulions rentrer chez nous. Nous avions été en rade (en Inde) pendant 3 ou 4 jours. Qui allait nous ramener à la maison?" a-t-elle lancé pour expliquer son geste.
Les passagers, qui auraient dû rentrer samedi, n'ont finalement regagné Birmingham que mardi soir. A Vienne, le directeur opérationnel chez Comtel Air, a indiqué que le problème était dû à un retard de paiement du tour-opérateur auprès duquel les passagers avaient acheté leurs billets, Skyjet. La liaison était prévue samedi mais a été retardée à mardi en raison du conflit entre Skyjet et Comtel Air, qui a elle même loué à la compagnie espagnole Mint Airways l'avion et l'équipage concerné par ce vol.
Plusieurs vols opérés par Comtel entre Birmingham et Amritsar ont été annulés du 18 au 20 novembre, a indiqué l'aéroport de Birmingham.
Les quelque 180 passagers ont passé plus de six heures sur le tarmac de l'aéroport de Vienne, où l'avion affrété par Comtel Air, une compagnie aérienne enregistrée en Autriche, s'était arrêté pour remplir ses réservoirs. Ils ont indiqué au journal local Birmingham Mail avoir été "rançonnés" et menacés d'être débarqués s'ils ne payaient pas la somme en question.
Les pilotes leur ont expliqué qu'un déficit de 24.000 euros empêchait la poursuite du vol, et leur ont donné des reçus. "On s'est cotisé, on a sorti notre argent, 130 livres (150 euros) chacun. Les enfants ne payaient pas. Si nous n'avions pas l'argent, ils nous faisient sortir un à un pour tirer l'argent au distributeur", a témoigné sur la chaîne de télévision Channel 4 une des passagères, Reena Rindi, qui voyageait avec sa fille de deux ans. "Nous voulions rentrer chez nous. Nous avions été en rade (en Inde) pendant 3 ou 4 jours. Qui allait nous ramener à la maison?" a-t-elle lancé pour expliquer son geste.
Les passagers, qui auraient dû rentrer samedi, n'ont finalement regagné Birmingham que mardi soir. A Vienne, le directeur opérationnel chez Comtel Air, a indiqué que le problème était dû à un retard de paiement du tour-opérateur auprès duquel les passagers avaient acheté leurs billets, Skyjet. La liaison était prévue samedi mais a été retardée à mardi en raison du conflit entre Skyjet et Comtel Air, qui a elle même loué à la compagnie espagnole Mint Airways l'avion et l'équipage concerné par ce vol.
Plusieurs vols opérés par Comtel entre Birmingham et Amritsar ont été annulés du 18 au 20 novembre, a indiqué l'aéroport de Birmingham.