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La ville d’Agadir sera doté prochainement d’un Institut de l’aviation civile et de l’espace (IACE), fruit d’un partenariat entre l’Université internationale d’Agadir "Universiapolis" et la société d’ingénierie marocaine "CORE".
L’inauguration de cet Institut dédié à la formation initiale et continue des contrôleurs et gestionnaires de la navigation aérienne aura lieu le 7 décembre prochain à l’occasion de la Journée mondiale de l’aviation civile, a affirmé à la MAP le président de cette Université Aziz Bouslikhane.
Projet unique sur le continent africain, cette structure, qui ambitionne d’être un pôle d’excellence avec de nombreux partenaires africains et européens, vise également à assurer l’exploitation des aéroports dans le cadre des partenariats publics-privés qui s’ouvrent à nous sur toute l’Afrique, a-t-il souligné.
Doté d’équipements de pointe et d’un corps enseignant de qualité avec un cursus de formation initiale de haut niveau en contrôle de la navigation, cet Institut dispensera aussi un programme de formation continue permettant d’assurer un haut niveau de compétences à jour et en conformité avec les standards internationaux de l’aviation civile, a-t-il dit.
Dans une déclaration similaire, le président de l’IACE Charraf Slaoui a assuré que ce projet, d’un investissement de 10 millions de dh pour la première année 2014, devra démarrer avec 32 étudiants au 1er semestre pour passer à 64 au 2ème semestre.
Lancé avec un business-plan de trois ans, cet Institut prévoit d’accueillir 192 contrôleurs aériens, contre 150 à 200 bénéficiaires du programme de formation continue, a-t-il signalé. Pour sa part, le directeur général de l’IACE Saleck Noueih a mis l’accent sur l’importance de ce projet au vu de l’évolution que connait le secteur aéronautique et spatial mondial, notant que d’ici 2032 la flotte mondiale passera de 17740 appareils à près de 36560, avec des carnets de commandes portant sur des transactions autour de près de 29220 avions d’une valeur de plus de 4400 milliards USD.
En Afrique qui connait une croissance à deux chiffres, mais où plus d’une vingtaine de compagnies sont blacklistées, le besoin en formation se fait d’autant plus sentir que la demande en personnel qualifié passera, d’ici 2032, à quelque 16500 pilotes et 15900 techniciens, a-t-il noté. L’IACE devra signer, à l’occasion de son inauguration officielle le 7 décembre prochain, un accord de partenariat avec l’Institut (SCL) relevant de Georgia Institute of technolgy, numéro un mondial en logistique.
L’inauguration de cet Institut dédié à la formation initiale et continue des contrôleurs et gestionnaires de la navigation aérienne aura lieu le 7 décembre prochain à l’occasion de la Journée mondiale de l’aviation civile, a affirmé à la MAP le président de cette Université Aziz Bouslikhane.
Projet unique sur le continent africain, cette structure, qui ambitionne d’être un pôle d’excellence avec de nombreux partenaires africains et européens, vise également à assurer l’exploitation des aéroports dans le cadre des partenariats publics-privés qui s’ouvrent à nous sur toute l’Afrique, a-t-il souligné.
Doté d’équipements de pointe et d’un corps enseignant de qualité avec un cursus de formation initiale de haut niveau en contrôle de la navigation, cet Institut dispensera aussi un programme de formation continue permettant d’assurer un haut niveau de compétences à jour et en conformité avec les standards internationaux de l’aviation civile, a-t-il dit.
Dans une déclaration similaire, le président de l’IACE Charraf Slaoui a assuré que ce projet, d’un investissement de 10 millions de dh pour la première année 2014, devra démarrer avec 32 étudiants au 1er semestre pour passer à 64 au 2ème semestre.
Lancé avec un business-plan de trois ans, cet Institut prévoit d’accueillir 192 contrôleurs aériens, contre 150 à 200 bénéficiaires du programme de formation continue, a-t-il signalé. Pour sa part, le directeur général de l’IACE Saleck Noueih a mis l’accent sur l’importance de ce projet au vu de l’évolution que connait le secteur aéronautique et spatial mondial, notant que d’ici 2032 la flotte mondiale passera de 17740 appareils à près de 36560, avec des carnets de commandes portant sur des transactions autour de près de 29220 avions d’une valeur de plus de 4400 milliards USD.
En Afrique qui connait une croissance à deux chiffres, mais où plus d’une vingtaine de compagnies sont blacklistées, le besoin en formation se fait d’autant plus sentir que la demande en personnel qualifié passera, d’ici 2032, à quelque 16500 pilotes et 15900 techniciens, a-t-il noté. L’IACE devra signer, à l’occasion de son inauguration officielle le 7 décembre prochain, un accord de partenariat avec l’Institut (SCL) relevant de Georgia Institute of technolgy, numéro un mondial en logistique.
