Une entreprise américaine teste actuellement un drone cargo capable d'emporter près d'une centaine de colis pour un poids maximal de 45 kg sur un rayon d'action théorique de près de 1.000 km, à une vitesse maximale de 240 km/h.
Baptisé Cento, l'aéronef de MightyFly est de petite taille (4m sur 5m) et il ne lui faut que l'équivalent de deux places de stationnement pour décoller, atterrir et décharger automatiquement les colis embarqués, explique l'entreprise dans un communiqué, précisant que la cellule qui fait office de soute est constituée de fibre de carbone et pèse en tout 161 kg avec le plein de cargaison.
Le drone est doté d'une grande et fine aile, d'un empennage en V. De chaque côté du cargo, deux modules ressemblant à des patins supportent chacun quatre moteurs électriques et servent à maintenir en l'air le drone et à réaliser les manœuvres de décollage et d'atterrissage à la verticale.
À l'altitude requise, c'est un plus gros moteur à hélice, placé à l'arrière, qui vient pousser le drone pour atteindre une vitesse maximale de 240 km/h. Pour parcourir ses 1.000 km d'autonomie, l'aéronef ne compte pas uniquement sur sa batterie pour animer sa motorisation électrique, mais aussi sur un moteur thermique qui fait office de groupe électrogène pour alimenter en énergie l'ensemble des moteurs électriques via la batterie, ajoute-t-on de même source. Lorsque le drone se pose, il déploie automatiquement un tapis roulant pour décharger sa cargaison ou en charger une nouvelle.
Pour le moment, l'autorité américaine de réglementation aérienne (FAA) a autorisé le Cento à réaliser des tests de longue distance dans un carré de près de 600 km, avec un plafond d'altitude de 1.500 mètres.
Baptisé Cento, l'aéronef de MightyFly est de petite taille (4m sur 5m) et il ne lui faut que l'équivalent de deux places de stationnement pour décoller, atterrir et décharger automatiquement les colis embarqués, explique l'entreprise dans un communiqué, précisant que la cellule qui fait office de soute est constituée de fibre de carbone et pèse en tout 161 kg avec le plein de cargaison.
Le drone est doté d'une grande et fine aile, d'un empennage en V. De chaque côté du cargo, deux modules ressemblant à des patins supportent chacun quatre moteurs électriques et servent à maintenir en l'air le drone et à réaliser les manœuvres de décollage et d'atterrissage à la verticale.
À l'altitude requise, c'est un plus gros moteur à hélice, placé à l'arrière, qui vient pousser le drone pour atteindre une vitesse maximale de 240 km/h. Pour parcourir ses 1.000 km d'autonomie, l'aéronef ne compte pas uniquement sur sa batterie pour animer sa motorisation électrique, mais aussi sur un moteur thermique qui fait office de groupe électrogène pour alimenter en énergie l'ensemble des moteurs électriques via la batterie, ajoute-t-on de même source. Lorsque le drone se pose, il déploie automatiquement un tapis roulant pour décharger sa cargaison ou en charger une nouvelle.
Pour le moment, l'autorité américaine de réglementation aérienne (FAA) a autorisé le Cento à réaliser des tests de longue distance dans un carré de près de 600 km, avec un plafond d'altitude de 1.500 mètres.